この世に在るモノで信じるなどの対象物など何も無い観タマへ有様不埒千万満億種充満欠如仁晒物数 | mmfjtoのブログ  ~なぜなら ぼくは、どうしようもないくらい汚れ腐ってますから~

この世に在るモノで信じるなどの対象物など何も無い観タマへ有様不埒千万満億種充満欠如仁晒物数

 

ドンペリにぃよんの鐘を聴いたことも無いのに

 

Moiremont — Wikipédia (wikipedia.org)



L'ancienne abbaye bénédictin fut fondée en 707 sous forme d'une congrégation. Son existence officielle apparaît en 1074.
Pierre Pérignon, né à Sainte-Menehould en 1639 y fut novice vers l'âge de 16 ans, avant de rejoindre l'abbaye de Saint-Vannes à Verdun où il devint moine sous le nom célèbre de Dom Pérignon.
Il ne subsiste de l'abbaye de nos jours que l'église abbatiale profondément remaniée devenue église paroissiale après la Révolution. Le reste du bâtiment ancestral fut vendu et démoli en 1793.

Le lavoir Saint-Placide.
Les maisons à pans de bois.
 




Ménehould — Wikipédia (wikipedia.org)

Ménehould est une sainte de l'Église catholique qui a donné son nom à la ville de Sainte-Menehould en Champagne.

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Biographie-Hagiographie
On trouvera principalement des informations sur la vie de Sainte Ménehould dans le livre de Claude Buirette, Histoire de la ville de Sainte-Ménehould et de ses environs2 ou dans le tome 12 des petits Bollandistes : vies des saints, de Monseigneur Paul Guérin3.

Son prénom est orthographié aussi Manechilde (en latin Manechildis) ou Manehould2.

Perthes
Ménehould3 naquit dans la première moitié du ve siècle à Perthes, village champenois situé près de Saint-Dizier. Elle était fille du gouverneur du Perthois, le comte Sigmarus (Sigmar) et la cadette des sept filles de Sygmarus et de Lintrude : Amée4, Hoïlde5, Lintrude6, Pusinne6, Francule6, Libaire6 et Ménehould. Élevées dans la piété chrétienne par le prêtre Eugène, elles auraient toutes pris le voile. L’évêque de Châlons Saint Alpin reçut leurs vœux.

Château-sur-Aisne
Ménehould s'installa avec son père sur l'une de ses terres à Château-sur-Aisne, lieu marécageux où les habitants furent atteints d'une maladie contagieuse. Ménehould y prit la direction d'un hospice fondé grâce au don de deux juifs convertis. Elle y soigna les habitants avec beaucoup de dévouement. Château-sur-Aisne deviendra Sainte-Ménehould.

La Neuville-au-Pont
Ménehould s'installa sur une colline nommée Côte-à-Vignes près de La Neuville-au-Pont. On lui attribue plusieurs guérisons miraculeuses. Elle y aurait fait jaillir une source miraculeuse en plantant son fuseau en terre.

Bienville
Après la mort de ses parents, elle s'installa à Bienville sur l'une des terres de son père (lequel avait attribué un domaine à chacune de ses filles). Elle y finit sa vie, y serait morte, à un âge avancé, le 14 octobre de l'an 4903 ou 499 ou 5002 selon les textes.

Culte et reliques
Son souvenir est attaché à la ville de Sainte-Menehould, à celle de La Neuville-au-Pont et au village de Bienville où elle mourut le 14 octobre, jour retenu pour sa fête.

Iconographie
Chapelle et église Sainte-Ménehould à Bienville
Église Saint-Charles de Sainte-Ménehould qui abrite les reliques de la sainte7
Autres
Le prénom de Ménehould serait porté par une dizaine de personnes en France8,9.

Références







Paul Guérin (religieux) — Wikipédia (wikipedia.org)

Paul Guérin, né le 8 mars 1830 à Buzançais et mort le 23 juin 1908 à Lanzac, hameau de Cieurac, est un prêtre, professeur de philosophie, écrivain et camérier de Léon XIII 1. Doué pour le travail de compilation, il est surtout connu pour être l'auteur de la série Les Petits Bollandistes : vie des saints dont les quinze volumes (1866-1869) furent plusieurs fois réédités.

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Biographie
Les parents de Paul Guérin sont de condition modeste. Paul est élève à Buzançais, à l'école supérieure communale2. En 1842, il entre au petit séminaire de Saint Gaultier, puis, vers 1849, au grand séminaire de Bourges. À l'issue de ses études, il retourne à Saint-Gaultier, comme professeur de quatrième. Nommé ensuite au collège Saint-Dizier, il y enseigne durant 13 ans. Parallèlement à son enseignement, il écrit et traduit des œuvres étrangères: ainsi, en 1857, Le Paradis perdu de John Milton. En 1858-1859, il publie, par souscription, 4 volumes de la Vie des saints de Giry.

Le Dictionnaire des dictionnaires
Paul Guérin dirigea la publication et signa, sous son nom laïcisé, les six volumes du Dictionnaire des dictionnaires. Lettres, sciences, arts, encyclopédie universelle (1884-1890), édition refondue en 1892, à laquelle s'ajoutera un important Supplément illustré en 18953.

Comme son titre l'indique, cet ouvrage a pour ambition de réunir « la substance de tous les dictionnaires […] le résumé des connaissances humaines »4. L'auteur annonce que la rédaction des articles a été confiée « à des hommes spéciaux, à la fois savants et vulgarisateurs4 ». De fait, Paul Guérin sut s'entourer de brillants spécialistes, comme Camille Saint-Saëns pour la musique ou Frédéric Godefroy pour la lexicographie. Le responsable de la rédaction, Frédéric Loliée, littérateur, rédigea l'introduction5. La partie scientifique de l'œuvre contrebalance par endroits la vision traditionnelle des articles religieux et théologiques6. Au lieu de se limiter comme ses prédécesseurs aux formes en usage en France, ce dictionnaire entrouvre la description de la langue française aux parlers de la Belgique, de la Suisse romande et particulièrement du Québec7.

Les biographies d'auteurs et les articles importants sont accompagnés d'une bibliographie.

En dépit de tous ces atouts, cette nouvelle encyclopédie se heurte à la concurrence de La Grande Encyclopédie, lancée en 1886 par Marcellin Berthelot, et surtout à celle de la maison Larousse. Incapable de s'imposer, cette entreprise a dû réduire ses ambitions et chaque nouveau volume de l'encyclopédie est devenu un peu plus réduit que le précédent.

Des dictionnaires et encyclopédies postérieures copièrent largement le dictionnaires des dictionnaires, ainsi que le rapporte Alain Rey « lorsque je pris connaissance de l'encyclopédie du xxe siècle... à plusieurs éléments près... ces gros volumes pompeux reproduisaient le texte du dictionnaire des dictionnaires, retournant la veste du protonotaire Guérin, dont le nom avait disparu... »8.

Poussé à la faillite puis à des abus de confiance pour financer son dictionnaire, il fut condamné à de la prison et se cacha à la fin de sa vie dans le Lot.

Écrits
Vie des saints d'après Lipoman, Surius, Ribadeneira et autres auteurs, 1858-1860, 4 volumes
Les Petits Bollandistes : vie des Saints, 1866-1869, 15 volumes
Les petits bollandistes; vies des saints de l'Ancien et du Nouveau Testament, des martyrs, des pères, des auteurs sacrés et ecclésiastiques ... notices sur les congrégations et les ordres religieux, histoire des reliques, des pèlerinages, des dévotions populaires, des monuments dus à la piété ... d'après le père Giry, dont le travail, pour les vies qu'il a traitées, forme le fond de cet ouvrage, les grands bollandistes qui ont été de nouveau intégralement analysés, Surius, Ribadeneira, Godescard, Baillet, les hagiologies et les propres de chaque diocèse tant de France que de l'étranger, et les travaux, soit archéologiques, soit hagiographiques, les plus récents, Paris, Bloud et Barral, 1888 (7e édition considérablement augmentée)
Dictionnaire des dictionnaires : lettres, sciences, arts, encyclopédie universelle, 1884-1892, Tome 1 [archive], 2 [archive], 3 [archive], 4 [archive], 5 [archive], 6 [archive] et supplément [archive], Librairie des imprimeries réunies, Motteroz
Nouveau dictionnaire classique, 1887
Nouveau dictionnaire universel illustré contenant : langue française - histoire, biographie, géographie, sciences et arts, sciences et arts, par Mgr Paul Guérin et Gaspard Bovier-Lapierre, Nouvelle édition remaniée, augmentée, contenant en deux appendices les simplifications orthographiques autorisées par l’Académie française en 1901 et 1905, 1894-1906
Notes et références
Paul Guérin, Les Petits Bollandistes: vie des Saints, page de garde de la 7e édition [archive], 1880, Bloud et Barral.
Justin Fèvre, (1829-1907)., Mgr Paul Guérin, camérier du pape et protonotaire apostolique , 88 p., portr., Paris, A. Savaète, 88 p.
François Gaudin, Lettre sur la lexicographie militante, dans Henri Béjoint et François Maniez, De la mesure dans les termes : hommage à Philippe Thoiron, Presses Universitaires de Lyon, 2005, p. 82
Dictionnaire des dictionnaires, Avertissement, p. V.
Jean Pruvost, « Du Dictionnaire des dictionnaires à L'Encyclopédie universelle du XXe siècle », Dans F. Gaudin (dir) La lexicographie militante, Paris, Champion, 2013
Francis Laplanche, Les sciences religieuses: le XIXe siècle, 1800-1914, volume 9, page 304-305, de Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine, Éditions Beauchesne, 1996
Monique Catherine Cormier, Jean-Claude Boulanger et Aline Francoeur, Les dictionnaires Le Robert : genèse et évolution, PUM, 2003, PUM, p. 198
Alain Rey, Dictionnaire amoureux des dictionnaires, Paris, Plon, 2011, 1002 p., p. 498
Voir aussi
Articles connexes
Les Petits Bollandistes
Société des Bollandistes
Acta Sanctorum
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観タマへ有様不埒千万満億種充満欠如仁晒物数

 

この世に在るモノで信じるなどの対象物など何も無い

 

愚鈍粋真利

いさおしとは

これこのもの

無いと知る事ぞ

あるなしぇ

 

 

世の常の普遍は

常に変動変化変節変化しあること

維持しそに投資しまくることの

飽無き気持ちと意固地と意気地の

人のいともはかいかない

そのおそろしげな嘆きだと

しらんかへ

 

 

 

 

 

安房蓮舎車中老貪

 

 

 

 

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南山堂三一惨滅院奏上寺

 

 

Dom Pérignon — Wikipédia (wikipedia.org)

 

 

 

 

 

 

 








Biographie
Après ses études à Oxford, Christopher Merrett pratique la médecine.

La principale œuvre de Merrett est Pinax rerum naturalium britannicarum, paru en 1667, qui est la première description de la faune anglaise (incluant aussi des descriptions de fossiles ou de minéraux). Le but de Merrett était de remplacer la Phytologia Britannica, natales exhibens indigenarum stirpium sponte emergentium de William How (1650). Merret n'est pas un naturaliste de terrain mais un simple compilateur d'ouvrages, son but premier est de rassembler des données pharmacologiques utiles pour le médecin.

Ses descriptions sont largement basées sur les travaux de John Jonston (1603-1675) et d'Ulisse Aldrovandi (1522-1605). Malgré cette réserve, il participe à l'essor de l'histoire naturelle britannique en fournissant une base pour son étude.

Merrett publie également quelques observations sur la physiologie végétale dans les Philosophical Transactions ainsi que sur la métallurgie.

Merrett est parfois associé au mythe de la découverte de la méthode champenoise au travers d'une légende de 16621, alors que l'invention du Champagne est traditionnellement attribuée à Pierre Pérignon, dit Dom Pérignon[réf. nécessaire].

Il est également connu pour The Art of Glass (1662), traité de préparation des matériaux pour la fabrication du verre. Il le dédicace à Robert Boyle. Merrett est devenu membre de la Royal Society le 20 mai 1663.

Références
(en) By Nick Higham, « Did the English invent bubbly before Dom Perignon? [archive] », sur bbc.co.uk, BBC News, 20 mai 2017 (consulté le 21 novembre 2023).
Liens externes
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Ressources relatives à la recherche : Archaeology Data ServiceHarvard University Herbaria & LibrariesMunk's Roll
Ressource relative aux beaux-arts : Royal Academy of Arts
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste : Oxford Dictionary of National Biography [archive]
Albert J. Koinm (2000). Christopher Merret’s Use of Experiment, Notes and Records of the Royal Society of London, 54 (1) : 23-32. (ISSN 0035-9149)
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Catégories : Naissance dans le GloucestershireMédecin anglais du XVIIe siècleNaturaliste anglaisÉtudiant de l'université d'OxfordMembre de la Royal SocietyNaissance en février 1614Décès en août 1695Décès à LondresDécès à 81 ansÉtudiant de Oriel College[+]





Christopher Merret - Wikipedia

Christopher Merret FRS, FRCP (16 February 1614/1615 – 19 August 1695), also spelt Merrett, was an English physician and scientist. He was the first to document the deliberate addition of sugar for the production of sparkling wine, and produced the first lists of British birds and butterflies.

Life
Merret was born in Winchcombe, Gloucestershire on 16 February; Hunter gives the year of his birth as 1615, which may be 1614 Old Style. In 1632 he went up to Gloucester Hall, Oxford (which later became Worcester College); he received his BA from Oriel in 1635, and his BMed and DMed from Gloucester Hall in 1636 and 1643 respectively.[1]

Merret then practised medicine in London, becoming a Fellow of the Royal College of Physicians in 1651. Three years later he moved to the RCP's premises at Amen Corner near St Paul's Cathedral, as the first Harveian Librarian, for which he received room and board and a small stipend. But disaster struck in 1666 with the Great Fire of London, which destroyed many of the rooms and most of the books. The college felt that he was no longer needed, but he felt that he had been appointed for life and fought them before the King's Bench twice, losing both times. He was expelled from his rooms and lost his Fellowship.[2][3][4] He was a founding Fellow of the Royal Society, joining May 20, 1663.[5] He became the chairman of the Royal Society's committee concerned with the history of trade and commerce,[6] but was expelled in 1685.[1]

He died at his home near the chapel in Hatton Garden, on 19 August 1695, and was buried at St Andrew's, Holborn.[1]

Naturalist
Merret collected new plants, maintained a herb garden and compiled one of the first lists of the flora, fauna and minerals of England, the Pinax Rerum Naturalium Britannicarum. The Pinax was published in 1666 and is an alphabetical catalogue with no explanatory commentary.[6] However it represents the first lists of British birds and butterflies,[7] and contains one of the first statements by an Englishman on the organic origin of fossils:

…it is abundantly clear to me that many stones considered to be inorganic are fashioned out of animals or their parts through the action of some earthen fluid; that they had communicated their shape to the clay or soft earth, and had then perished though their figure was preserved[6]

Metallurgy and glass making
Merret had a particular interest in industrial uses of minerals, publishing papers on smelting and tin mining. In 1662 he translated Antonio Neri’s The Art of Glass (1611) and added 147 pages of his own, from other authors and his own observations.[6] His descriptions of glassmaking indicate an intimate familiarity with the process, but his modern claim to fame lies in a passing mention to a different field altogether. On 17 December 1662 he presented Some Observations concerning the Ordering of Wines to the Royal Society. In this paper, unearthed by wine writer Tom Stevenson, Merret describes winemakers adding quantities of sugar and molasses to make the wines drink brisk and sparkling.[8] Today this would be called the méthode champenoise, the addition of liqueur de tirage in order to stimulate a secondary fermentation that produces the bubbles in sparkling wine.[9]

Spontaneous secondary fermentation had occurred in still wines since antiquity; most glass bottles of the time were not strong enough to contain the high pressures thus generated and so exploding bottles were an occupational hazard of winemaking. Sir Robert Mansell obtained a monopoly on glass production in England in the early 17th century and industrialised the process; his coal-powered factories in Newcastle upon Tyne produced much stronger bottles than were available in France. As a result, the English could deliberately induce a secondary fermentation in wine without the risk of blowing up the bottle, long before Dom Pérignon is traditionally considered to have invented sparkling wine in Champagne around 1697.[8][10]

Although Merret appears to have been more interested in making glass than in making wine, producers of English sparkling wine such as Ridgeview have been quick to use his name as a generic term to describe their wines.[8]

Publications

Title page of Merrett's Pinax Rerum Naturalium Britannicarum, 1666
The Art of Glass, wherein are shown the wayes to make and colour Glass, Pastes, Enamels, Lakes, and other Curiosities. Written in Italian by Antonio Neri, and translated into English, with some observations on the author. Printed by Octavian Pulleyn, at the Sign of the Rose in St. Paul's Church-yard, London, 1662.
Pinax Rerum Naturalium Britannicarum, continens Vegetabilia, Animalia, et Fossilia. Londini : Impensis Cave Pulleyn ad insigne Rosae in Coemeterio Divi Pauli, typis F. & T. Warren, 1666.
The following papers ascribed to Merret were published in the Philosophical Transactions of the Royal Society, although the last two were published in the year of his death and attributed to "Mr. Merret, Surveyor of the Port of Boston", which may have been his son Christopher.

Observations concerning the uniting of barks of trees cut, to the tree itself. Phil. Trans. R. Soc. Lond. II, 453–454 (abridged version, III, 706).
An experiment on Aloe Americana serrati-folia weighed; seeming to import a circulation of the sappe in plants. Phil. Trans. R. Soc. Lond. II, 455–457 (abridged version, II, 645–646).
An experiment of making cherry-trees, that have withered fruit, to bear full and good fruit; and recovering the almost withered fruit. Phil. Trans. R. Soc. Lond. II, 455 (abridged version, II, 652)
A relation of the tinn-mines, and working of tinn in the county of Cornwal. Phil. Trans. R. Soc. Lond. XII, 949–952.
The art of refining. Phil. Trans. R. Soc. Lond. XII, 1046–1052.
A description of several kinds of granaries, as those of London, of Dantzick, and in Muscovy. Phil. Trans. R. Soc. Lond. II, 464–467.
An account of several observables in Lincolnshire, not taken notice of in Camden, or any other author. Phil. Trans. R. Soc. Lond. XIX, 343–353 (abridged version, III, 533).
A table of the washes in Lincolnshire. Phil. Trans. R. Soc. Lond. XIX, 392 (abridged version, II, 267).