Comment s'habiller comme un New-Yorkais
New York Fashion Week est presque sur nous et nous devons nous préparer pour le défilé visuelle des lunettes de soleil à l'usure, brushing, jambes nues soignée New-Yorkais cueillette à travers les monticules de neige sur les talons imposants sur le chemin de Calvin Klein, Ralph Lauren, Rodarte, et al. La vue de ces girafes immaculées bravent le temps tout en regardant impitoyablement bien habillé peut être déprimant au mieux, et au pire intimider.
La vérité est, cependant, ce n'est pas la façon dont les New-Yorkais vraiment habiller. Même les hommes et les femmes s'arrachent par Bill Cunningham, le légendaire New York Times photographe de rue qui raconte la vêtus à la mode qui vaquent à leurs occupations quotidiennes, ne représentent pas vraiment les New-Yorkais.
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CloseMcMullan Co / SIPA / Rex Features
Bill Cunningham
. Bien Manhattanites sont un lot extrêmement élégant, leur uniforme est si bien, uniforme qu'il n'a pas une bonne image faire. Compétences Cunningham est de trouver les vêtements qui se démarquent dans les rues grises de la métropole; récemment, il était manteaux surdimensionnés Comme des Garçon (en nombre insuffisant et, à force de leurs clownesques proportions, probablement à la demande à la mode élitiste). Ce qui revient à dire que Cunningham dont Anna Wintour opine dans le film émouvant "Bill Cunningham New York" que "nous sommes tous habillés pour le projet de loi», est beaucoup trop bon dans son travail à vous confier un petit secret : New-Yorkais (au nombre desquels je me compte) sont un sartorially prévisible, certains pourraient même dire ennuyeux, beaucoup.
Cela dit, je ne suis pas sûr qu'il y est un moyen préférable ou plus efficace d'aborder la mode que d'un état d'esprit de New York. Un New-Yorkais est un juge perspicace de ce qui fonctionne, ce qui peut être jeté sur à tout moment et ce qui va avec quoi. New York pansement s'apparente à la construction d'une maison en Lego. Chaque article est soigneusement choisi pour s'adapter au-dessus de, à côté ou en dessous de l'autre, la somme de ce qui est une tenue de grand-regarder ce que vous pouvez très bien prendre n'importe où, à partir d'un 7 heures d'appel par vidéoconférence à une réunion de l'Association parents-enseignants midi à un parti PDG des boissons et un repas du soir avec des amis. Je sais que cela ressemble à la substance voilée d'un roman de mode éclairés, mais une fois que vous l'avez vu et vécu, non seulement vous commencez à y croire, mais vous pouvez le voir il est parfaitement logique.
La première chose à comprendre est que peu importe ce que l'édit de mode de la saison, l'année, voire de la décennie, les New-Yorkais comme le noir. Il s'ensuit donc que ils aiment aussi les couleurs qui accentuent noir: bleu marine, taupe, marron et gris. Allez dans n'importe quel magasin bon et jeter un oeil à ce que les femmes achètent. Parmi les contrôles loufoques, les fleurs et les blancs (saison suivante), vous noterez également une entreprise stable et cohérente se fait dans les tons ci-dessus.
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CloseFirst pensée Films
A encore de «Bill Cunningham New York" (2010).
. New-Yorkais sont aussi des maîtres à déterminer ce qui leur convient silhouette et s'y tenir. Quand je pense à ces femmes que j'admire, à New York, ils ont tous une certaine «apparence», qui se forme inévitablement par la forme des vêtements qu'ils portent.
Voici quelques exemples:
LISA: Tout à propos, un bon pantalon légèrement évasé de Prada et un grand amples haut, souvent par Marni. Vestes, quand et où nécessaire, de Rick Owens ou Michael Kors. Chaussures: moyen à talons Manolos en été et des bottes de Bottega Veneta en hiver. Signifiant: cher bijoux de fantaisie.
CAROLYN: Sportive et épuré dos sépare-pantalons ou des jupes étroites et bien ajustés, courts, vestes minces (pensez Calvin Klein, Akris ou Jil Sander). Cachemire T-shirts ou chemises Ralph Lauren en dessous de tout (surtout en blanc). Les shorts et vestes avec une silhouette similaire pour l'été. Signifiant: jambes nues, portés avec des sandales plates en été et avec des talons aiguilles de haute jusqu'à Décembre. Examinera enfiler un bonnet de fourrure avant de céder à la porte des bottes.
LYNDA: robes fourreau Strictly chute juste au-dessus du genou (Tory Burch, Donna Karan, Diane von Furstenberg), qui montrent hors de triathlon aux tons bras et les mollets. Cardigans simples en gris, bleu ou brun (Prada) sont portés pour se réchauffer pendant l'hiver et enroulé autour des épaules de l'été. Chaussures-signifiants et Lynda: Jimmy Choo. Pas d'exception.
Au cours de l'été et les mois d'hiver, les New-Yorkais peuvent être invoqués pour présenter un goût exquis en vêtements de plein air, que ce soit chez Ralph Lauren, Prada ou Brooks Brothers. Pendant l'été, doux manteaux petit opéra de Marni, Vera Wang, DVF ou Michael Kors sont effectuées, plutôt que porté (pour les ongles plutôt que la performance).
Malgré, ou peut-être à cause, de leur épuré dos vêtements, les New-Yorkais sont formidables enjoliveurs, leurs déclarations par voie de foulards, chapeaux, sacs, bijoux et, plus particulièrement, des chaussures. Deux des principales raisons pour lesquelles Sarah Jessica Parker a réussi à devenir une icône de la mode par Candace Bushnell "Sex and the City" étaient la juxtaposition des vêtements bizarres Carrie contre les tons pastels de paysage de la mode de New York et, bien sûr, ses accessoires, ce qui a réduit même les plus endurcis d'entre nous de pies cupides.
"New York pansement s'apparente à la construction d'une maison en Lego. Chaque article est soigneusement choisi pour s'adapter au-dessus de, à côté ou en dessous de l'autre, la somme de ce qui est une tenue de grand-regarder ce que pouvez très bien vous emmener partout.
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New-Yorkais toujours savoir où acheter les sacs à main les plus récentes et (Barneys ou Hermès, où ils commandent des éditions spéciales d'une saison à l'avance), foulards (Bergdorf Goodman, Etro et Lora Piana) et des bijoux (Pippin Vintage, Seaman Schepps et Verdura). La chaussure est une spécialité particulière. Les talons sont jamais hors de question, même dans le métro, et à la fois la Barneys et dates Manolo Blahnik vente sont inscrits dans des calendriers religieux. New-Yorkais sont, cependant, la plus pratique de sartorialists-prêt à tout moment à enfiler des bottes Sorel, chapeaux d'hiver et des manteaux de fourrure, lorsque les températures tombent.
Ce qui m'amène à l'un des attributs les plus notables New Yorker vestimentaires: leur volonté de sembler idiot si l'occasion l'exige. Pendant pluies estivales abondantes, lorsque les légions de femmes élégamment vêtues autrement peut être vu ballottement autour des trottoirs de l'Upper East Side à SoHo énormément laid, brillamment colorés bottes en caoutchouc. New-Yorkais ne pense rien de tourner lors d'une réunion cruciale à une cheville-longueur Driza-Bone manteau, jaune vif suroît et un foulard sur la tête en plastique.
Lorsque les New-Yorkais détendre, ils sont toujours en uniforme. Ils achètent leur jean-AG ou Current / Elliott, bleu et blanc pour l'hiver à l'été, dans des endroits comme Calypso et Saks, respectivement, leur week-end T-shirts de Vince; leur cachemire à partir de J.Crew, et leurs chemises à rayures et PJs de Brooks Brothers. Pour un New-Yorkais, «se Jiggy" porte un petit quelque chose avec des paillettes, provenant surtout de Michael Kors, Vera Wang, Miu Miu ou J.Crew. Le plus avant-gardiste parmi eux se ramifier à l'usure Isabel Marant ou plus récent du New York subversif, récemment oint Balenciaga designer Alexander Wang, pour une soirée, avant de décider qu'ils se sentent bien trop énervé et retourner à leur LBD marque ou tailleur-pantalon LB l'événement suivant.
Beaucoup a été fait de la routine de New York femelle toilettage beaucoup d'entretien. Il est vrai que de s'habiller comme un vrai New-Yorkais, il faut être en possession d'une éruption apparemment permanent et une manucure nonchip. La clé pour cela est un autre de ces qualités infâmes de New York: le pragmatisme. Peu de gens ont les ongles peints en autre chose qu'un vernis transparent, de cette façon ils peuvent se tenir au courant des choses dans le département de manucure eux-mêmes. Et quand il s'agit de faire sauter sèche, la plupart calendrier deux pendant la semaine et étirer le temps entre l'utilisation prudente des différents outils de coiffage et les shampooings secs. Comme pour le maquillage, en dépit de la vaste gamme de marchandises exposées dans les magasins, le type des New-Yorkais, je vous écris à propos de l'usure très peu. Ils font, cependant, ont la propension à apparaître à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit avec des lèvres remarquablement brillant. Cela est dû à des applications presque habituels de baumes à lèvres Carmex ou comme Salve Rosebud Smith. Contrairement à presque tout le reste appartient à un New-Yorkais, aucune de ces deux articles vous coûtera plus que 10 €.
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